Sans fruits sans fleurs sans feuilles sans branches rien qu’un tronc de poème sous la violence et les cercles des paroles qui rêvent de l’arbre absent et de ses gestes dans l’air
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L’énigme ne craint pas son ombre et l’ombre craint le jour elle qui déplace les gouffres elle qui déplace les souffles au-dessus des gouffres elle qui traverse le temps cet énorme aujourd’hui rythménigme tremblant ne se pose nulle part