« s’élargir comme un estuaire le désir est estuaire mettre au monde est estuaire parler est estuaire l’orgasme est estuaire mourir est estuaire écrire est estuaire »
20 juin 2022 : écrire comme on avance à tâtons… dans l’invisible et le silencieux – tendre accalmie – une soudaine floraison.
Adeline Miermont-Giustinati, Sumballein, suivi de le tunnel, Editions Phloème, 2021