» Chanter où la main nous toucha, où l’épaule s’embrasa, où s’ouvrit le désir. Chanter dans la table, dans l’arbre abîmé en extase. Chanter sur le corps de la mort, pierre à pierre, flamme à flamme – levé, aimé, connu. «
Le poème (extrait)
16 avril 2022 : ce miracle intérieur – la puissance chantante du monde.
Herberto Helder, La cuiller dans la bouche, 1961, traduit du portugais par Marie-Claire Vromans, Ed. La Différence, 1991, collection Le Fleuve et l’écho
1 réflexion sur “Herberto Helder, « Le poème » (Portugal)”
Clairement un de mes poètes préférés! résonances résonance !